Pas mécontent de chausser mes baskets noir/fluo de nouveau, restées au fond d'un placard.... pour retrouver mon "vieux pote" : le jogging.
Trente ans d'activités sportives, non stop, pour ma part. Ca laisse des traces. Et on se demande un peu pour quelles raisons il y a eu une assez longue interruption de tous ces exercices... trop de boulot ( je ne blague pas !), contraintes de mobilité géographique, évènements particuliers (.... grêle... crues... je plaisante, mais c'est c'est loin d'être une plaisanterie quand on est touché directement par les aléas climatiques) et occupations de toute nature (large palette envisageable...).
Il me manquait, comme qui dirait, une "lampe frontale" pour courir sur ces trottoirs, dans l'obscurité, trottoirs déformés... et attention aux "trous". Pas de bobos, heureusement, pour cette fois-ci ! Mais un éclairage, devant, derrière, où vous voudrez, sur le bonhomme qui court, est de mise... le gilet fluo, au moins ! faisons plaisir à monsieur le Maire.
A propos de TROUS, retrouvons les fameuses répliques de Galabru et de DE FUNES, dans le film "Jo" (1971). Petit rappel de la situation, avant de retrouver ces répliques. De Funès était parti creuser un trou, dans le "Grand trou" (en chantier) creusé par le maçon Galabru : l'objectif de De Funès était de déposer le corps d'un cadavre dans ce trou.
Mais Galabru, par hasard, découvre, en pleine nuit, le trou creusé par Jo (De Funès), à l'intérieur de la grande cavité qu'il avait lui-même creusée.
C'est ainsi que, durant une rencontre fortuite des deux personnages, en pleine nuit, dans la maison du propriétaire (Jo), Galabru croise celui-ci et lui dit =
- il y a un bougre d'imbécile qui a creusé un trou dans mon propre trou !
- Et Jo, de répondre : " Un trou ?"
- Un trou dans mon propre trou ! Mais pas un simple trou ; un énorme trou où on pourrait y faire tenir un bonhomme allongé dedans...
- ça par exemple ! Qui a pu faire ça, qui c'était ? Peut-être un de vos ouvriers POUR SE DISTRAIRE...
- POUR SE DISTRAIRE ! En attendant, j'ai passé un quart d'heure à reboucher le trou !
- Vous avez rebouché le trou !
- Oui, j'ai rebouché le trou dans mon propre trou !
--------------------------------------
Allé, en attendant, et ce n'est pas pour plaisanter cette fois-ci, je vais "boucher un trou", j'ai plutôt une petite faim à cette heure-ci, salut
Pierre-Jean